• Même si il existe plusieurs angles pour analyser une situation, celui qui prévaut toujours est la vue du cœur, quoique l'on essaye, quoique l'on tente pour s’en extraire…


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  • Loi

    Aimer ne donne aucun droit, uniquement des devoirs.


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  • Tu n’es que mon point G. Moi, je cherche le mâle absolu.


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  •  

    Passé

    Nos accords d'hier étaient à sang pour sang
    Et pourtant nos corps faisaient sans...

    Et pour noël

    Me feras-tu cadeau de ta peau?

    Me laisseras-tu te froisser

    De mes doigts

    M'empaler

    Sur tes hanches

    Me dépaqueter

    A tes pieds

    M'emmêler dans tes fils

    Amants

    Me donneras-tu

    Nos sens pour cent ?

     

     


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  • Simuler : faire paraître comme réelle, une chose qui ne l'est pas

    Stimuler : faire paraître comme désirable une chose qui, sans cela, ne le serait pas


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  • Ils prennent tes mots pour se raconter, pour se dire, et se redire. 

    Ils t'empruntent tes pensées pour penser, panser leurs maux, parce qu'en mots, ils n'en ont pas assez.

    Et toi,  en as-tu encore assez pour toi, pour partager, pour en laisser ?

    Où t'inscris-tu sur ce mur, éparse dans tous ces cœurs qui battent pour toi ?


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  • Elle : " Je ne vais pas lui plaire, je suis trop entière..."

    Lui : " S'il faut que je la partage, ça ne va pas me plaire..."


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  • Passer de l'âge des secrets à l'âge des grandes démonstrations...


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  • Les mots sont mes notes de piano


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  • Mon père avait les mains les plus belles et les plus soignées du monde connu. Des mains aux proportions parfaites jusqu’au bout des ongles. Une illustration du nombre d’or à elles-seules. C’étaient de vraies mains d’homme, capables de vous faire remonter huit marches d’un escalier d’un seul revers.


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  • C’est un détail remarquable que les mains.  Ainsi, tous les hommes que j’ai aimés, avaient les mains petites comme ma mère.


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  • Soit tu aimes, soit tu n’aimes pas. Bien sûr, il existe des degrés pour chaque pôle. Tu peux aimer, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, mais pas, pas du tout : parce que là, tu n’aimes pas. Tu peux aussi ne pas aimer, beaucoup, ou du tout, mais c’est tout. Tout cela n’indique pas comment tu aimes ou comment tu n’aimes pas, n’est-ce pas ? Tout simplement, parce qu’il n’y a pas de comment en amour : tu aimes, c’est un tout… ou tu n’aimes pas, un point, c’est tout.


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  • Est-ce que je vais finir par vivre ou est-ce que je vais finir de vivre ? ... je n'ai pas encore tranché.


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  • Seul, celui qui avoue, porte la faute.


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  • Je t’ai fantasmé homme, alors que tu n’étais qu’un enfant. Mais, ce que mon esprit refusait de voir, mon corps, lui, le savait : Il m’a toujours empêché de t’approcher.


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  • Tu ne pourras plus rien me faire. Je t’ai rayée de ma géographie. Mes regards glissent sur toi, sans s’arrêter. Tu es lisse, sans relief, sans teinte, sans humeurs. Tu ne vaux même pas un coup d’œil.


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  • Blesser quelqu’un parce qu’il vous aime. Le blesser si profondément qu’il n’y a plus de retour possible, plus de soins qui puissent se faire, plus de guérison efficace. Blesser quelqu’un qui vous aime, simplement parce qu’il vous l’a dit, qu’il vous a dit que vous pouviez le faire ? C’est vraiment n’importe quoi…


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  • Je prends mon monde. Je le mets au-dessus du tien. J’observe comment tu te noies dans ces mirages de couleurs que je t’envoie. J’observe comment tu te laisses, comme la mer sur mon rivage, doucement, violemment emporter. Ton monde, je le maintiens en dessous pour ne pas anamorphoser le mien. Puis, je distille un peu de cette sève que je réserve en cas de fin. Je t’achève en t’aveuglant, en te privant de sens. L’expérience est terminée, je ne me retourne pas.


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    Non A

    Friction, fiction,

    Fission et fusion,

    Aimant ou amant, 

    Les choses tiennent souvent à peu de choses.

    Il faut être précis.

    C’est à la lettre près.


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  • Sans vous, je n’aurais plus qu’à m’affronter…


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  • Sans vous, de qui vais-je devoir rire ? De moi ?


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  • Hors de ma vue, pieds tendres, balais dans l’cul, oreilles sensibles, gent policée, coincés du nombril, accros du paraître, choqués du quotidien, allez oust ! Du vent !

    Les cons, les ânes, les emmerdeurs, les pollueurs de morale, restez-là… on s’ennuie trop sans contraste


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  •  

    Passer de l’état de non sens à l’état de conscience  et vice versa, passer de l’état de conscience à l’état de non-sens… ça c’est du vice, ça n’a pas de sens.


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  • Vous reprendrez bien une petite mort ?


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  • Je me suis fait niquer par un gamin. Je me suis fait niquer comme une gamine, rouler dans la farine par un jeune loup à la patte blanche.

    Il en rigole encore. Toujours, j’entends son rire, ses dents dehors. Plus mon cœur cogne, plus il rit fort.

    Il s’amuse et ça m’use. Je voudrais qu’il souffre, l’enfermer dans son odeur de mâle, le rendre insupporté et insupportable, le rouler dans ma page blanche et l’envoyer rouler bouler hors de mon sort.


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  • Voici, c’est le moment. Déchirer la page, montrer le corps de mes pensées, dévêtir les sens de mes mots avec l’essence de mes maux.


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  • Non !

     

    Parfois le nom fait un tout,
    Acquiescement et refus.


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  • Vas-y....Explique-moi, redis-moi, parle-moi, même pour ne rien dire, simplement pour entendre ta voix m'expliquer, me redire, me parler pour ne rien dire qu'un long silence. C'est lancinant, mais au moins, cette musique est à ma portée.


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  • Puisque tu n’en as plus rien à faire de moi, qu’est-ce que, moi, je peux bien en avoir à faire de moi ?


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  •  Je ne te vois plus, tu ne me vois plus, et pourtant, je ne vois que toi. J’ai dans les yeux, ouverts ou fermés, chacun de tes regards, fuyants ou braqués. Parce que chacun garde sa vision du monde, en soi, quoiqu’il en soit. Et toi, est-ce que tu me vois encore ? ça , je ne le vois pas…


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